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Léon O'Malley ○ Qu'est-ce que tu r'gardes toi?

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Léon O'Malley
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Léon O'Malley

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MessageSujet: Léon O'Malley ○ Qu'est-ce que tu r'gardes toi? Léon O'Malley ○ Qu'est-ce que tu r'gardes toi? EmptyJeu 11 Juin - 17:15




Léon O'Malley T'as un problème?

(VERSION FR)


Je suis Léon O'Malley, solitaire d'AOC. J'ai actuellement 38 printemps, mais quelque chose me dit que je ne passerai pas ce cap. Mon métier est forgeron (ou parfois chieur professionnel) et j'habite dans la ville de euh... ben j'en sais que dalle en fait ? J'habite en campagne, rien d'intéressant, en somme.. Je suis dans la classe des guerriers et ma spécialité est la chevalerie, y paraît?. Je suis incarné par Hijikata Toushirou.



Physique
T'as quoi à me regarder?!




Je suis un mec d'apparence normale sans manquer de charme, sans plus. J'ai les cheveux noir-gris avec des reflets verts, et mes yeux sont d'un bleu-gris perçant, presque pâles. Je suis plutôt grand (1m80 pour les curieux), et ma carrure massive m'avantage pas mal pour les combats. Ma peau est de couleur pêche, mais rien de bien particulier. Enfin. Mon style vestimentaire l'est un peu plus, bien que restant dans la norme. Je porte habituellement des chemises et un petit veston sans manche, ainsi qu'un pantalon noir et des chaussures simples, m'orientant plus sur un style vestimentaire semblable à celui de "l'époque", si je puis dire ça comme ça. Enfin, dans le vrai monde ou j'étais avant, je m'habillais de manière plus moderne, histoire de me fondre un minimum dans la basse. Rien de particulier, en somme.



Caractère
Va voir ailleurs si j'y suis!




T'es un p'tit curieux, hein. Je suis pas quelqu'un de très sympathique, et honnêtement, ton avis comme celui des autres, j'en ai rien à foutre. Je ne dois rien à personne ni à ta propre personne. Je suis têtu, franc, et sarcastique. On me traite d'enflure, mais qu'est-ce que j'ai à cacher? Rien, justement. Ce qu'il ne faut pas oublier, c'est que je suis quelqu'un de très rancunier. Je n'oublie jamais, sous aucun prétexte.

Enfin, passons. Je suis le genre de type à aimer montrer aux autres qu'ils se trompent, les rabaisser et me foutre de leur gueule si possible. Pourquoi ? Parce que j'aime ça. Oh, je ne dis pas que je suis supérieur aux autres, loin de là. C'est juste une façon de signaler qu'ils ont fait une connerie, mais sans le tact et la politesse. Que dire de plus... Eh bien, j'adore la solitude. Me sentir loin des gens, loin des mensonges, être seul, c'est tout ce que je souhaite. De toute façon, je suis pas le gars avec qui on aime discuter, donc c'est réglé. Bon, je suis juste aigri, mais je suis pas non plus le "vilain méchant loup" qui agresse la personne qui lui parle ou lui fout un flingue contre la tempe juste pour m'avoir regardé.

J'ai des qualités, oui. Je suis quelqu'un de courageux, et de têtu. Je n'ai pas peur de l'inconnu, et défier l'autorité ne m'effraie pas. Cocasse, pour un avocat, pas vrai ? Certains disent que je suis un ours mal léché, mais pas méchant du tout, d'autres disent juste que je suis juste un lâche qui aime critiquer les gens par pur complexe de supériorité, que je suis un crétin et un beauf. Je me fiche parfaitement de l'avis des autres. Si vous avez envie d'vous faire votre idée, venez m'voir au lieu d'écouter les autres.

Libre à vous de tracer votre chemin ou d'vous attarder un peu en croisant ma route, un de ces jours.



Histoire
Ça te regarde?




Parce que ça te r'garde peut-être? Je suis pas spécialement rancunier, donc je suppose que je peux déballer le nécessaire. Je suis un avocat. Un avocat parfaitement détestable, qui exerce ce métier principalement pour sa rancune envers les mensonges et par passon. Enfin bref; je suis pas doué pour raconter d'histoires donc vous attendez pas à beaucoup de trucs. J'ai toujours eu une certaine notoriété, acquise de je n'sais où. A croire que les gens aiment les parfaits connards et s'y attachent. On ne cesse de me le cracher à la gueule, et pourtant je le sais. On ne naît pas connard, et je suppose que c'est ça qui vous intéresse.

Je suis né dans une famille de classe moyenne, avec un frère jumeau, Thomas. C'était mon frère cadet. C'était le genre de type à ne pas prendre sa vie au sérieux, à toujours avoir besoin des autres pour survivre. C'était un bel enfoiré, couchant à gauche et à droite pour se faire un tant soit peu de thune. Et moi, qui étais le chouchou de mes parents, lui était un peu le bâtard. Il bavait de jalousie, je le voyais et je le sentais. Pourtant, au lieu de rejeter la faute sur moi, ne pouvait-t-il pas se bouger le cul un tant soit peu dans sa vie? Non, non. C'est bien trop dur, trop difficile pour lui, qui avait des problèmes d'alcoolisme. Et pourtant, j'arrivais pas à le haïr à proprement parler. Parce qu'au fond, il était quelqu'un de sympa. Et par dessus tout, il partageait le même sang que moi. Enfin, j'aimais y croire.

Le 9 juill. XXX C'est mon anniversaire, et je rentre d'une dure journée de travail dans mon bureau, crevé comme un chien. Aucune fête de prévue, apparemment. Mes parents ne sont pas là, mais ce sont les seuls à m'avoir téléphoné. Qu'est-ce que j'les adore, ces vieux. Je regarde ma montre. 21h30. Mon téléphone vibre alors, et je reconnaît le nom de mon frère qui s'affiche au téléphone. Je soupire en fronçant les sourcils, puis je décroche après un moment d'attente.

« Si c'est pour de l'argent, t'as juste à aller au pôle-emploi du coin et te trouver un taff. Tu verras, c'est des gens super civilisés et sympathiques, y paraît qu'avec ces gens-là, on peut réussir un minimum dans la vie.
Heyyy bro'... viens me chercher... j'pas d'argent sur moi, 'taxi y'est trop cher... j'me suis tapé une pute tout à l'heure pis... !
Rentre à pieds.
▬  Peux pas... te dis... allez Léoooon... Fais le pour ton frère qui t'aiiime. Léon soupire et regarde sa montre. Ça va, il avait un peu de temps devant lui.
▬  Bon, je viens te chercher. Mais c'est la dernière fois.
 Oh merci frangin, j'te le r'vaudrais, promiiiis !

Je raccroche en soupirant, et je me met en route pour aller mon abruti de frère, les mains dans les poches. Je me rends dans le bar habituel ou il allait - presque - tous les soirs. Je le retrouve a moitié bourré, et je viens à sa rencontre, soupirant. Je paye la note à sa place par habitude, et je traîne mon frère par le bras.

« Oh fraaaangin, mon pote, t'es finalement venu ! Faut que j'te mooontre un truc SUUUPER !
Ah ouais, t'as acheté un livre pour la première fois dans ta vie ?
Naaaan ! Regarde !! Mon frère se met à courir en traversant la voie du bus, sans même avoir regardé. Et au loin, se dessine un bus fonçant à toute allure sur lui. Mes yeux s'écarquillent et mon cœur rate un battement. Non... Non ... ! Je ne réfléchis plus, et dans un réflexe presque inhumain, je me jette sur la voie en hurlant le prénom de mon frère. Mon frère me regarde d'un air désespéré, les yeux écarquillés. Je réussis à l'atteindre en le poussant sur le côté, et alors que le bus se rapproche de plus en plus, je retombe au sol dans un grand fracas. Mon contact avec le bitume brûlant me fait gémir de douleur, et j'essaie de me redresser.

Thomas... Mon frère, au loin, ne bouge plus, et il se redresse brutalement avant de reculer et de fuir en hurlant, effrayé, sous mon regard désespéré, tandis que je tourne la tête. En un éclair, je sens un énorme poids sur mes jambes. Une immense sensation de de douleur envahit mon corps tout entier. Le monde se fige, je n'arrive plus à respirer correctement, et je n'arrive plus à bouger. Je pousse un hurlement de douleur à m'en déchirer les poumons, hurlant à la mort, comme si j'agonisais. Et tel était le cas. Dans un dernier geste instinctif, alors que ma vue était brouillée par les larmes, je constate avec horreur qu'une barre en métal, détachée du camion sous l'impact, avait effleuré ma jambe gauche et l'avait balafrée d'une telle puissance que j'en perdais une immense quantité de sang. Et pire encore, elle l'avait même transpercée. Silencieux, je porte ma main à ma bouche ensanglantée, étendu au sol, alors que la foule se dirigeait vers moi. Le conducteur du bus se penche vers moi, affolé.

...Sieur... Allez... ien?! Vo... tend'?! Je tourne doucement la tête vers la gauche, et soudain, plus rien. Un voile noir recouvrait ma vue, tandis que je sombrais dans l'inconscience la plus totale, mon corps baignant dans une immense marre de sang. Mais plus pire encore que la douleur, je ressentais de l'amertume envers une personne que j'avais chéri depuis toujours, malgré les problèmes qu'elle m'avait créé. Et cette personne là, m'avait trahie. Ça, je ne le pardonnerais jamais. Jamais.  

Après ça, je suis resté dans le coma pendant un temps. Mon corps à été refroidi et réchauffé, au risque de ne pas pouvoir relancer mon coeur. Ils m'avaient sauvés moi, mais pas ma jambe. Elle était presque inutilisable, presque morte. Je pouvais'en servir comme la retirer. Et j'ai choisi la douleur. La douleur de la trahison. Me réveiller à été très douloureux. Cette amertume ne m'avait jamais quitté. Je me souviens de ces flash incessants, de ces cauchemars. La seule chose dont je me souviens ensuite... C'est cette question primordiale :

Monsieur.
Mon...monsieur O'Malley ?
Un certain Thomas... Ma main se relève lentement, agrippant la manche du médecin. Ma voix est faible, mais je reste parfaitement conscient. Du moins, assez pour réfléchir convenablement. ... Est-il venu ici ?
Le médecin hésite un moment avant de me répondre. Je fronce les sourcils, fixant le médecin calmement.
Non, je regrette. J'ai consulté la liste il y a peu mais...
Épargnez-moi vos discours inutiles. Listez-moi voir votre programme, mon assurance déverse pas de la thune pour que vous jouiez les psy avec moi.
B-bien, alors... commençons cette rééducation.

C'est la que commença cette rééducation. Les médecins ont insisté pour que j'opte pour une prothèse, mais j'ai refusé. Opter pour une prothèse est dangereux dans mon cas, mais bénéfique dans le cas d'une réussite selon leur dires, et je refuse de jouer a pile ou face avec ça. Maintenant, je m'enfile ces médicaments dégueulasses chaque jours et à toute heure, souffrant comme un chien. Je pensais m'adapter à ce quotidien jusqu'au jour ou j'ai été rétrogradé de mes fonctions à cause de mon frère, profitant de mes clients en usurpant ma personne sur le net. Viré pour faute professionnelle, hein ? À cause de ce crétin qui ne cessait de se ramener dans ma baraque avec ses prostituées, ouais.

Fou de rage, je me souviens avoir fait face à mon frère, remonté au possible. Il se contentait de sourire et de balancer des excuses à tout-va, mais je n'étais pas assez clément pour laisser passer ça. Ma main vient agripper ses cheveux avant de le soulever, mon visage faisant face au sien, une clope entre les dents.


▬  Déballe-moi tes explications avant que je te balance par la fenêtre, pauvre con de malheur.
Oh allez... y m'fallait un peu de thune, la vente d'informations c'est pas si grave Léon ! Relaaaxe !
Espèce de...!

Ma main libre s'abattit sur le visage de Thomas, l'envoyant se cogner contre le mur dans un gros fracas. Je me suis jeté sur lui avant de le frapper à plusieurs reprises de toute ma hargne et ma rage, ignorant les coups qu'il réussissait à me porter par chance en visant au hasard, hurlant de douleur et me suppliant d'arrêter. Et plus rageur encore à chaque fois qu'il me faisait cracher du sang, je ne cessait de frapper plus fort. Thomas, presque inconscient, eut comme dernier recours d'abattre son poing sur ma jambe, m'arrêtant pendant un cours instant tandis que je poussais un hurlement rauque de douleur. Et pourtant, ma prise ne se desserra pas. Au contraire. Elle s'affirma.

Je me redresse en forçant sur mes jambes, manquant de perdre l'équilibre à plusieurs reprises.

Tu viens de faire... quoi, là ? ... Ma voix sombre et grave résonne dans la pièce alors que mon frère hurle de peur, terrifié. Mon regard perçant se pose sur lui, tel un prédateur en chasse, enragé. Je serre les dents dans une expression froide et féroce, le tenant par le col. Doucement, je le soulève.

Tu viens de faire ... quoi ? Répétais-je, froid. Mon frère appuie ses mains ensanglantées sur mes avants-bras en gémissant, la gorge nouée par la douleur et la peur ressentie. Soudain, la porte s'ouvre dans un grand fracas. C'est Lucia. J'écarquille les yeux avant de relâcher Thomas au sol, tandis que ma fille pousse un long hurlement de terreur.

PAPA ! T'AS FAIT QUOI A TONTON THOMAS ! MONSTRE !
L-Lucia !
▬  ... Oh mon dieu ! Une femme aux cheveux d'or se pointe à la suite, l'air indigné. C'est Kate, mon épouse. Elle me regarde avant de froncer les sourcils et d'aller me retourner deux gifles.
T'ES QU'UN PAUVRE TYPE ALCOOLIQUE ! TU TE RENDS COMPTE DE CE QUE TU VIENS DE FAIRE ?!
Q-Que...

Je regarde à mes pieds, et mes yeux s'écarquillent. Je serre les dents sous le coup de la douleur, constatant avec effroi mon frère a moitié inconscient, au sol. Il était en sang. Il pleurait, il était effrayé.

M'APPROCHE PAS !! hurla-t-il en se calant plus contre le mur tandis que je reculais, la gorge nouée par la honte et le chagrin.
Notre mariage... il est foutu, tu comprends ?! Je refuse de vivre avec un type alcoolique et violent ! Tu as été prévenu maintes et maintes fois, c'en est trop !
K-Kate... A-Attends!

Je n'ai pas le temps de m'expliquer. Elle emmena mon frère et ma propre fille je-ne-sais-où, partant loin de moi. Pour toujours. J'avais tout perdu. Ma fille, l'amour de ma vie, et mon propre frère. Je retombe à genoux, portant mes mains ensanglantées à mon visage. Pour la première fois... je me sentais vide, brisé. Et c'était ce que j'étais : dénué de bonheur. C'est sûrement pour ça...

Que je me suis retrouvé seul.

1 an après.

Les séances chez le psychologue ne s'arrêtent plus. Ma vie n'est qu'un banal quotidien morose. J'enchaîne les tours au bar, sans cesse et sans cesse. J'ai coupé tout contact avec mes parents. Lors d'une après-midi banale à me saouler au bar, un homme à la chevelure brune et aux yeux noisettes vient à ma rencontre, un sourire calme aux lèvres.

Vous vous ennuyez... n'est-ce pas ?
Et ça vous amuse de m'ennuyer encore plus ?
Non. Ce qui m'amuse le plus, c'est de voir à quel point vous êtes resté le même. Votre réputation d'avocat excentrique ne vous a jamais quitté.
Un connard doublé d'un alcoolique dépressif ? Je le sais déjà, ouais.
Vaut mieux être une enflure qu'un idiot tout court, non ?
... Qui êtes vous pour vous intéresser autant à moi ?
Yamachiko Tsugoto. Je fais un bond sur ma chaise et je regarde l'homme à mes côtés, déstabilisé. Il m'offre un sourire calme, posé.
I-Impossible... !
Pourquoi, ça vous étonne ?
... U-un peu, ouais ? ...
J'ai besoin... de votre force. Un sourire sombre s'affiche sur les lèvres du créateur, se penchant vers moi. Vous êtes le seul à pouvoir m'aider.

En y repensant... comment avais-je pu intéresser un homme d'une telle prestance ? Je me sentais ... faible, à ses cotés?

Sûrement parce qu'il était celui que je n'avais jamais pu être.
Au fond, peut-être en étais-je jaloux ?

... Passons, ce n'est pas important.

C'est ainsi qu'il m'expliqua ce fameux projet, Age of Ciryon. Il ne m'avait ni promis la fortune, ni la force. Il m'avait promis la rédemption, une échappatoire. Et il m'avait offert la chance de quitter cette réalité. Éternellement. Naïvement, j'ai mordu à l'hameçon. Je ne regrette rien. Ce type à fait de moi l'homme le plus fort des unités spéciales, jusqu'à obtenir le titre de chef, accompagné de mon bras droit, Yvann Alistair. Ce type est un peu comme mon petit frère de cœur.

Jamais nous n'avons eu de problèmes. Je voyais en lui Thomas, sans les défauts. Et pourtant, nous avons dû nous séparer, quittant les unités spéciales. Ce rôle-là n'était pas fait pour moi. Les gens devaient se démerder seuls à mes yeux, et... je n'aimais pas rendre des gens aussi désespérés. J'étais un crétin, mais surtout un humain. Je sais ce que ça fait, d'être désespéré. De toute façon, mes problèmes de "santé" s'étant aggravés depuis mon arrivée dans ce monde, j'aurais été forcé d'arrêter. Tôt ou tard. J'avais trop forcé, beaucoup trop. Et lui, le sait autant que moi. Même si je sais pertinemment qu'il m'en veut, je sais que sous aucun prétexte, nos liens seront toujours aussi solides. Pas de jalousie, pas de mensonges. Rien.

Tout était vrai et sincère, tout.
J'aime encore y croire, à mes heures perdues... Pourtant, quelque chose à changé. Oui, Yvann est destiné a être aussi fort que moi. Et doucement, il devient de plus en plus fort. Pourtant, il reste toujours aussi bienveillant.

Cependant, ses responsabilités l'obligent à aller à l'encontre même de ses principes. Pourquoi continuait-t-il dans ce cas-là? Je me le demande...

Enfin.

Yamachiko tente désespérément de me reprendre dans ses troupes, sans succès. Même si j'ai admiré un temps ce type, je ne peux pas cautionner totalement ses actes. Il peut toujours courir pour me reprendre comme chef des unités spéciales, ouais. Cependant, je ne pense pas que ce soit une si mauvaise personne que ça. En effet, j'ai du mal à voir le mal chez les gens. C'est un défaut comme une qualité, et je l'assume parfaitement.

Et pourtant, je sais plus que quiconque qu'il existe...
Enfin, passons. Ce genre de discours larmoyant ne doit pas trop t'intéresser, je me trompe ?

Actuellement... je vis seul en campagne, exerçant le métier de forgeron dans les diverses villes et petits villages d'Age of Ciryon, et ça me va très bien comme ça. J'ai pas une très bonne réputation mais... honnêtement, je m'en fiche pas mal.

A présent, file. J'ai d'autres chats à fouetter.





Derrière Léon O'Malley se cache Nawiel Kuran. J'ai 13 ans ans et je RP depuis 5 ans. Je pense que le forum est patate, en revanche je conseillerais chocolat. J'ai découvert le forum par le biais de ma personne, puisque je l'ai créé. Le  code du règlement est


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MessageSujet: Re: Léon O'Malley ○ Qu'est-ce que tu r'gardes toi? Léon O'Malley ○ Qu'est-ce que tu r'gardes toi? EmptyLun 13 Juil - 13:39

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