Ciryon
Bienvenue sur Age of Ciryon, jeune invité!

N'hésite pas à fouiller dans la paperasse pour te renseigner si le forum t'intéresse, et si le cœur t'en dit, nous laisser un avis constructif dans la zone des invités!

En espérant que tu te plairas ici!
Ciryon
Bienvenue sur Age of Ciryon, jeune invité!

N'hésite pas à fouiller dans la paperasse pour te renseigner si le forum t'intéresse, et si le cœur t'en dit, nous laisser un avis constructif dans la zone des invités!

En espérant que tu te plairas ici!
Ciryon
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Vivre ou mourir... choisissez votre destinée.
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-45%
Le deal à ne pas rater :
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre 14 couverts – ...
339 € 622 €
Voir le deal

Partagez

V I T R A L || The revolution as already begun

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage

Maître des dès

Viträl
I am
Viträl

Messages : 25
Date d'inscription : 08/06/2015
Localisation : Dans l'obscurité


Feuille de personnage
Classe:
Guilde:
Expériences :
V I T R A L || The revolution as already begun Left_bar_bleue0/20V I T R A L || The revolution as already begun Empty_bar_bleue  (0/20)

V I T R A L || The revolution as already begun Empty
MessageSujet: V I T R A L || The revolution as already begun V I T R A L || The revolution as already begun EmptyJeu 11 Juin - 3:38




Viträl Break your vision



Je suis Viträl, un espion des Curseds. J'ai actuellement 16 printemps, mais quelque chose me dit que je ne passerai pas ce cap. Mon métier est messager et j'habite dans la ville de Denethor. Je suis dans la classe des Voleurs et ma spécialité est Espion. Je suis incarné par Roxas.



Physique
Citation




« Vivi ? Le décrire physiquement, c'est un peu comme demander a un aveugle s'il sait a quoi ressemble le paysage devant lui, vous savez.

Il porte sans arrêt une ample veste aussi noire que la nuit, qui le camoufle entièrement. Personne ne l'a jamais vu sans. La forme de son corps n'est même pas percevable, mise a part le haut et encore. Elle lui arrive en bas des pieds et il semble porter de larges bottes, mais on n'en sait pas plus. Quelques rumeurs disent qu'il porte un pantalon et un haut ras le corps, d'autre un short. On ne sait pas trop.

En taille, il doit faire... un mètre soixante-cinq, je dirais. Pour cinquante-cinq kilos, tout mouillé. C'est pas le profil d'un berserk, ça c'est sûr.

Concernant son visage, c'est exactement pareil. On ne voit rien qu'un trou noir, en dehors de quelques mèches blondes de cheveux. Sa frange lui couvre les yeux, a ce qui paraît. Je me demande comment il fait pour voir... Sa peau semble être assez clair, mais c'est tout ce qu'on sait. Si bien qu'on se demande parfois s'il ne porte pas un masque, en faite.

Il fait honneur a son rang, ça c'est sûr. Un peu trop même. Cela ne serait pas la première fois qu'il fait faire une crise cardiaque a quelqu'un parce qu'il ne l'a pas vu venir ! C'est d'ailleurs comme ça qu'on se doute qu'il est tout de même musclé, car même s'il n'est pas costaud, il n'en reste pas moins agile et aussi vif qu'une vipère.

Sans compter ses dagues. On ne sait pas combien il en porte, mais de ce qu'on a vu, ce sont des armes taillées non pas pour entailler, comme on pourrait le croire, mais pour tuer. Enfin, vous voyez le genre quoi. Ce type doit avoir une connaissance biologique extrême quand même...

Hin ? Pourquoi se cache-t-il autant ? Bonne question. Personne ne sait, étant donner qu'il reste a l'écart. »




Caractère
Citation




Serpens districta periclitanti attoniti iamque armatos colligi saxo extremas ratione serpens mihi adpetitus extremas dentium ut colligi viri vel spes dentium cognitis viri inquit serpens saxo succurrens starent et et serpens districta et Gallus saluti iussit et fortes dentium fortes saluti inquit adeste colligi telo armatos iussit cum quavis districta viri saxo dentium acie Gallus inquit vobiscum suae omnes armatos cognitis et extremas et cum attoniti fortes spes armatos starent telo periclitanti colligi vobiscum quavis cum iussit cognitis extremas cognitis districta vel saxo ratione mihi spes opperiens fortes starent inquit ratione attoniti quavis acie Gallus serpens quavis periclitanti et Gallus. Serpens districta periclitanti attoniti iamque armatos colligi saxo extremas ratione serpens mihi adpetitus extremas dentium ut colligi viri vel spes dentium cognitis viri inquit serpens saxo succurrens starent et et serpens districta et Gallus saluti iussit et fortes dentium fortes saluti inquit adeste colligi telo armatos iussit cum quavis districta viri saxo dentium acie Gallus inquit vobiscum suae omnes armatos cognitis et extremas et cum attoniti fortes spes armatos starent telo periclitanti colligi vobiscum quavis cum iussit cognitis extremas cognitis districta vel saxo ratione mihi spes opperiens fortes starent inquit ratione attoniti quavis acie Gallus serpens quavis periclitanti et Gallus.

10 LIGNES MINIMUM.



Histoire
Citation




Vinny, car tel est son véritable prénom, fut le deuxième né de la famille Specchio. Son frère, Vitali, âgé de plusieurs années de plus et qui lui ressemblait énormément, avait attendu avec impatience sa venue. Car c'était son souhait, d'avoir un petit frère, et ce souhait, ses parents l'avaient réaliser. Peut-être était-ce un coup de chance, mais maintenant qu'il était là, Vitali était heureux. C'est donc en Italie, dans une villa proche des frontières marines, que Vinny grandit, aux côtés de ses proches.

Ce fut a ses cinq ans que Vivi vu lentement sa mère partir, en l'espace de quelques temps seulement. Son père disait qu'elle était malade, et qu'elle allait revenir. Mais plus le temps passé, plus il voyait le monde dans lequel il vivait se craqueler. Les yeux larmoyants de son père et son frère ne mentaient pas. Il n'était pas dupe. Alors qu'il observait son père, avachi sur une chaise du porche, sa fine main attrapa le pan de sa chemise démise.

« Elle ne reviendra pas ? ... Papa ? »

L'homme le regarda, une tristesse infinie remplissant ses yeux bleu-vert hypnotisant. Sans mots, il entoura les épaules de son fils d'un bras, pour le serrer tout contre lui et le laisser avoir libre court a ses larmes.

La famille déménagea plusieurs temps après, traversant les frontières pour s'installer en France. N'emportant qu'avec eux, les dernières photos de la disparue. Femme a la magnifique chevelure blonde, cascadant sur ses épaules avec de légères ondulations, et aux yeux violets, comme l'améthyste. Un sourire tendre aux lèvres, l'air serein.

Malgré la perte de leur mère, les deux frères se soutinrent, aidant leur père a refaire leur nouvelle résidence et s'amusant dans leur jardin sauvage, chose qu'ils n'avaient jamais eu. Après l'orage, venait le soleil. Pendant plusieurs années, Vinny et Vitali s'épanouirent dans leur nouvel environnement... Jusqu'à ce qu'arrive la fin du primaire.

Vivian n'arrivait pas a s'intégrer parmi les enfants de son âge, sans qu'il s'en plaigne. Il était simplement différent, autant physiquement, que mentalement parlant. Et cet écart se creusa plus encore quand il quitta le primaire, pour les grandes vacances.
Revenant jouer dans leur grand jardin, le cadet ne se douta de rien quand, aux premières semaines, son aîné se mit a tousser quelques fois. Lui-même avait quelques toux parfois... Mais il comprit que quelque chose n'allait pas, le jour où Vitali s'écroula dans l'herbe, toussant et crachant tout ce qui lui venait en bouche. Notamment, du sang.
Son hurlement de terreur résonna dans le jardin comme le gong du glas, alors qu'un seul bruit de tasse cassée lui revenu en écho.

Le médecin était présent a son chevet le lendemain, faisant un premier bilan sur la situation de Vitali pendant que son frère et son père attendait dans une autre pièce. Mais ce fut seul avec son père, dans une seconde salle, que le docteur voulut annoncer le résultat de son examen.
Vinny n'entendit rien, mise a part le son d'une chaise violemment poussée. Ses yeux se fermèrent en silence, tandis qu'il plongea son visage, crispé par le désespoir qui s'emparait de lui, dans le creux de ses mains.

« Pourquoi... Pourquoi tu t'acharne... »

Un bruit lui parvint alors. Un faible appel, que lui seul sembla percevoir. C'était la voix de Vitali. En silence, avec un vif mouvement, il monta a l'étage sans hésitation, courant vers la chambre de son aîné pour y entrer. Il n'avait aucune conscience de ce qu'il allait déclencher, et qu'en avait-il a faire ? Vitali l'appelait.
S'avançant, il lui prit la main doucement, s'agenouillant a côté du lit. Un faible sourire s'étira sur le visage pâle de l'adolescent, qui resserra sa main dans la sienne, toussant douloureusement. Le voir souffrir ainsi... C'était plus qu'une torture pour lui. C'était son monde qui s'écroulait. Calant sa main contre sa joue, quelques larmes coulèrent le long de son visage, sans bruits.

« Ils... Ils vont t'emmener aux urgences... Tu verras, on va te soigner. »

Vinny repartit alors dans la salle où il était précédemment assis, quelques minutes avant que son père revienne, le docteur a ses côtés.
Quelques temps plus tard, le cadet intégra le collège, alors que son frère restait allongé dans une salle d'hôpital. Avec ce poids sur le coeur et ses pensées qui se tarissaient qu'en a l'avenir, le garçon ne fit que se renfermer sur lui-même. Ou plus précisément, dans les jeux-vidéos.
Dans ce monde fait de pixels... Il était un héros. Un héros qui sauvait des vies. Si seulement... Si seulement il en était un. Pourrait-il peut-être sauver son frère.

Son frère mourut quelques mois plus tard. Emporté par la maladie, sous les yeux de son propre père, qui demeurait parfois des journées entières à l'hôpital. Il se demandait... Quoi faire. Quoi penser de ses événements.
L'homme toucha le fond, et préféra partir avec son enfant plutôt que de vivre encore la disparition d'un être cher. En entrant dans la salle où son enfant vivait ses derniers instants, pour lui apporter du réconfort, il s'exposa a l'air contaminé, contractant dès alors le début de la maladie. Abandonnant, sans réellement y penser, Vinny.

« Votre père est a l'hôpital... S-Si vous voulez lui rendre visite, n'hésitez pas a passer. »

Ce fut le seul appel qu'il reçu. Ses quelques mots, qui tombaient comme une fatalité, finirent par faire disparaître la seule lueur d'espoir qu'il voyait en son avenir. Détruisant les dernières parcelles de son monde. Peu importe si tout allait bien, peu importe si tout allait mal. Plus rien importait, maintenant. Il était seul.
Vinny lui-même s'abandonna.

Quelques temps plus tard, il fut placé dans un foyer. Chambre a plusieurs, vie restreinte, colocataires plus jeunes que lui. Au fond, le garçon n'en avait rien a faire. Tant qu'il avait ses jeux-vidéos et son espace. Il était a la fois en colère, désespéré et vide. Un mélange qui l'aveugla, si bien que lorsque son père n'était plus, il n'y avait plus rien, même plus des larmes.

Des semaines plus tard. Une douleur a la gorge, minime, infime. La voix qui s’éteint légèrement, mais Vinny continua a vivre. Puis, des mois plus tard, une toux violente. Des poumons en feu, l'impression d'étouffé et de vouloir vider son organisme par sa bouche.  Trois jours plus tard, il était là. Allongé dans cette pièce vide, où résonnait l'écho d'un bip régulier.
Les vitres de la salle laissaient a peine entrevoir les médecins venant et allant dans l'hôpital. Que faisaient-ils, ils se le demandaient bien. Pourquoi s'agitait quand ils avaient déjà vécu la même situation, deux fois, sans pouvoir rien y faire.

Ce fut quelques semaines plus tard qu'on l'emmena d'urgence en salle d'opération, sans même prendre le temps d'expliquer quoi que ce soit. Tout ce dont il se rappelle, c'est d'avoir toucher le bras d'un médecin, paniqué, puis le sommeil artificiel qui l'emportait, dans une longue, très longue attente.

Vinny finit par se réveiller. Il émergea avec le son du vent, le bruissement des feuilles et l'air tiède qui caressait sa joue. C'était si calme. Si reposant. Où était-il ? Soulevant après quelques essais ses paupières, le garçon observa le ciel blanc qui s'étendait sous ses yeux, la tête posé sur un nuage matériel.
Lentement, son regard se tourna vers le cadre de peinture a ses côtés, s'animant de divers sons et mouvements fluides. Sa conscience lui revint alors, écarquillant les yeux en percevant la fenêtre ouverte a côté de lui. Dans son lit blanc d'hôpital, il se redressa presque brusquement, fixant ses mains puis la pièce vide.

Un bruit attira son attention, de la porte qui s'ouvrait. Une femme dans une tenue tout aussi claire que les murs de la salle entra, le visage sombre. Mais aussitôt que ses yeux se posèrent dans les siens, ses iris s'éclaircirent. Le matériel qu'elle portait, vinrent s'éparpiller a terre, portant ses mains a sa bouche. L'humidité qui se rassemblaient a ses paupières surprit légèrement le garçon, dont les cheveux bicolores cascadaient sur ses épaules.

« C'est pas vrai ! »

Sa voix s'étrangla dans sa gorge, prise d'une émotion qu'il n'arrivait a comprendre. Sa silhouette disparue du cadre de l'entrée, ses pas précipités résonnant dans les couloirs, puis s'éteignirent avant de revenir, accompagner de d'autres tout aussi désordonnés.
Un homme apparut a son tour, le visage empli de surprise et d'espoir. Puis, un sourire s'étira sur ses lèvres, tandis qu'il s'approchait de l'adolescent perdu pour faire un premier bilan rapide, muni d'une petite lampe.

« Que se passe-t-il ? »

Sa voix timide, mais bien audible, fit s'arrêter le médecin qui eut un arrêt. Ses mains se posèrent sur ses épaules doucement, penché a sa hauteur avec un visage compréhensible.

« Vinny. Cela fait 5 ans que tu es allongé ici. »

Depuis ce jour, il ne sût s'il était redevable pour lui avoir sauver la vie, ou bien rancunier de l'avoir ramener alors qu'il n'avait plus rien a attendre.

La suite, vous la devinez certainement.
De son addiction au monde virtuel, Vinny n'avait plus rien a espérer du monde où il vivait. Si ce n'était que passer sa vie a jongler entre l'hôpital et le foyer, où les adoptions restaient sans réponses. Alors quand les nouvelles sont concentré sur la sortie d'un VRMMORPG, il n'eut aucun mal a s'y intéresser et même, a s'y présenter.

Il était dans le train a cet instant là, comme beaucoup de monde.
Il avait écouter le discours du maître du jeu, mais ne s'était pas indigné.
Pourquoi ?

Parce que c'était une nouvelle vie. Un départ a zéro.
Un monde qu'il ne voulait plus quitter.





Derrière Viträl se cache Cynblack, alias Rono. J'ai 16 ans et je RP depuis 4 ou 5 ans. Je pense que le forum est magnifique, en revanche je conseillerais d'être moins beau pour éviter la jalousie. *Joke* J'ai découvert le forum par le biais de Nawi (Leon). Le  code du règlement est


© By Halloween





Dernière édition par Viträl le Ven 2 Oct - 17:15, édité 8 fois
Revenir en haut Aller en bas

Admin

Léon O'Malley
I am
Léon O'Malley

Messages : 63
Date d'inscription : 07/06/2015
Age : 22
Localisation : Seul.


Feuille de personnage
Classe:
Guilde: Solitaire.
Expériences :
V I T R A L || The revolution as already begun Left_bar_bleue0/20V I T R A L || The revolution as already begun Empty_bar_bleue  (0/20)

V I T R A L || The revolution as already begun Empty
MessageSujet: Re: V I T R A L || The revolution as already begun V I T R A L || The revolution as already begun EmptyJeu 11 Juin - 17:18

Aaaah, la modestie est une chose qui se perds 8D
R'bienvenue par ici en passant, homme >:DD
Revenir en haut Aller en bas
https://ageofciryon.forumactif.org

V I T R A L || The revolution as already begun

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Ciryon :: Notre univers :: Les présentations-